Everlynne dans La Tour Sombre
Version originale Everlynne of Serenity, Prioress Everlynne
Autres noms Everlynne, Everlynne de Sérénité, Mère Supérieure Everlynne
Type personnages
Apparitions et/ou citations
Mère supérieure du couvent de La Sérénité à Debaria
Personnage de La Clé des Vents. Selon le SHÉRIFF HUGH PEAVY, la Mère Supérieure Everlynne serait capable de cracher à la gueule du diable. Et s’il l’emportait à NIS, en moins d’un mois, c’est elle qui commanderait. Il y a sûrement du vrai dans ce que dit le shériff, car Everlynne est la seule personne, à part Roland, à avoir tiré sur le GAROU en ayant survécu. Ce monstre protéiforme était en train de défigurer SOEUR FORTUNA lorsqu'Everlynne lui a tiré dessus. Les chevrotines lui ont arraché des écailles au niveau de la tête. La mère Supérieure a eu aussi assez de cran pour faire partir MARTEN du couvent, alors qu'il voulait récupérer GABRIELLE lors de sa retraite à DEBARIA.
Quand Roland la rencontre pour la première fois sur la route de Debaria, il la prend pour une géante, qui aurait fait une compagne idéale pour DAVID QUICK, le Prince Hors-la-loi de la légende. Assise sur un trône en bois de fer, elle tricote une couverture, vêtue d’une robe de mousseline blanche et coiffée d’une capuche de soie blanche qui lui faisait comme des ailes au-dessus de la tête. Ses formes sont si plantureuses, ses seins si opulents, qu'elle pourrait protéger deux bébés du soleil. Sa voix est proche du baryton, et quand elle rit, on dirait un petit coup de tonnerre. Malgré sa nature généreuse et sa vocation religieuse, la Mère Supérieure est bien déterminée à protéger son couvent et sa personne. En plus du tromblon qui lui a permis de blesser et faire fuir le garou, elle porte un couteau de boucher dans un étui de cuir fixé à son mollet.
Bien que les pistoleros de GILEAD ne fassent pas confiance aux femmes du COUVENT DE LA SÉRÉNITÉ, que ce soit Everlynne ou ses filles, car elles n'ont pas besoin d'hommes pour vivre, la Mère Supérieure accueille Roland et Jamie les bras ouverts. En l'appellant "Fils de Gabrielle" (un épithète rarement utilisé dans la contrée patriarcale qu'est l'ENTRE-DEUX-MONDES), Everlynne donne à Roland une lettre qu'elle a gardée pour lui, écrite par Gabrielle. Celle-ci la lui a confiée avant de quitter sa retraite. Bien que la lettre soit écrite de façon décousue et avec une folie sous-jacente, elle ravive chez Roland la culpabilité de son matricide, car il semble évident que Gabrielle savait qu'elle allait mourir des mains de son fils et l'avait accepté. Les derniers mots de la lettre sont "Je te pardonne tout. Peux-tu me pardonner ?"
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